Hector Berlioz, sa vie et son musée

Lors de leur périple sur le chemin de Compostelle (de Romagnieu à la Côte-Saint-André), les élèves de Première générale ont pu visité le musée d’Hector Berlioz et nous en font une petite description.

 

Le musée Hector Berlioz est installé dans la maison natale du grand musicien romantique à la Côte Saint-André.

Il évoque sa vie et son œuvre. Il est situé dans le centre ville. Dans les étages du musée se trouvent les pièces de l’enfance d’Hector Berlioz reconstitué par différent acquis du musée comme un piano retrouvée par hasard sur « Leboncoin », ce très bel instrument, entièrement rénové, vaut environ 50000 euros. Quelques rares artistes jouent parfois dessus. Au sous-sol du musée, il y a un auditorium où l’on peut écouter chaque morceau que Berlioz a composé.

 

La vie d’Hector Berlioz

Hector Berlioz est né le 11 décembre 1803 à la Côte Saint-André. Né dans une famille bourgeoise, dont le père est médecin. Berlioz grandit dans l’objectif de devenir médecin, ce que souhaitent ses parents. Il part faire des études de médecines à Paris mais il est rapidement déçu et se redirige, dans le dos de ses parents, vers la musique. Malheureusement, son père s’en rend compte et décide d’arrêter le financement de ses études. Ne pouvant continuer sa vie mondaine par manque de moyen, il est contraint de rentrer à la Côte Saint-André dans la maison familiale. Après plusieurs mois, son père cède finalement face à la passion qu’il a pour la musique et lui refinance des études à Paris. Sa mère n’étant pas tenue au courant, apprends la nouvelle et s’enfuit, furieuse.

Hector Berlioz a une vie amoureuse compliqué avec une première femme qu’il séduit lors d’une représentation de la symphonie fantastique. Cette même femme le trompa lorsqu’il parti pour Rome. A son retour à Paris, Berlioz tombe amoureux d’une actrice irlandaise, qu’il épouse en 1833. De cette union naît Louis en 1834. Mais en 1854 sa compagne décède suivi de son fils en 1866.

Berlioz meurt le 8 mars 1869 à Paris.

Durant sa vie, il aura composé 4 œuvres majeurs :

  • « La symphonie fantastique » en 1830,
  • « La grande Messe des morts » en 1837,
  • «  Les nuits d’été » en 1841
  • «  La Damnation de Faust » en 1846

 

Les élèves de Première générale – septembre 2022